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Quelques nouvelles ...

16 mars 2012

Some news from La teillerie

Je me suis fait rare ces derniers temps... C'est que ça va mieux !
Le repos arrive, doucement, mais surement.
Je suis à la Teillerie depuis mercredi midi, et ça me fait du bien.

D'abord, je ne supporte pas bien le stress, les choses à faire qui se bousculent, le rythme qui s'accélère et les sollicitations dispersées. Je ne supporte pas bien l'urgence, non plus.
L'autre jour, j'ai reçu plusieurs coups de fils. Je filtrais, et donc les messages étaient enregistrés sur le répondeur du mobile, qui me rappelait dès l'enregistrement des messages, puis me rappelait régulièrement à chaque demi heure ou heure, je ne sais pas. 5 personnes cherchant à me joindre dans la même journée se transformant vite en 25 appels ! Et pour moi en sentiment de harcèlement !J'ai eu beaucoup de mal avec ça... Le lendemain, quand mêm, j'ai appelé les gens qui m'avaient laissé des messages, et ça n'était pas facile non plus, car tous ces gens qui m'aiment me posaient des questions, sur un rythme qui était le leur, mais certainement pas le mien, et d'autre part leurs questions étaient souvent iddiotes, du moins de mon point de vue... (et le psy, il te fait une thérapie, et les anti dépresseurs, et tu t'ennuie pas, et moi je ferais ci, et moi je ferais ça...un chauchemar, je vous dis !). Et comme je sais que le boulot, indépendamment des premiers jours où je vais revenir, ,c'est beaucoup ça... je ne suis pas certain d'avoir vraiment envie.

Et puis, ça m'a sauté à la figure hier (il faisait beau, le printemps poussait la terre pour sorti, les oiseaux présents éclataient de joie), quel temps perdu dans ces open spaces à faire des choses vides de sens alors que tout vit autour de nous !!!!

- je reviens, je mets mon andouillette sur le barbecue -

Que de temps perdu ! Gaspillé ! Pour quoi ? Une organisation qui fonctionne en dépit du bon sens ? des chefs absents mais exigeants ? une vie d'insécurité ? Je ne suis ps sur de bien supporter...

En arrivant à la Teillerie, je me suis bien sur occupé de remettre l'eau, et une vanne avait sauté, cassée par le gel. Il m'a donc fallu réparer, et vite si je voulais trouver une vanne adéquate avant la fermeture des magasins, avec pour corer l'eercice un boulon grippé que je n'arrivais pas à dévisser, tout en devant le préserver pour éviter de me retrouver avec plus de dégâts qu'au départ. J'ai réussi, et j'ai eu de l'eau comme il fallait le soir même, mais ça m'a mis dans un état de stress terrible !

Et là encore, le boulot...

Ca va mieux avec K, et avec son fils. Elle m'a encore entrepris de façon inappropriée jeudi dernier, mais là j'ai gueulé, et j'ai exigé que nous ayons une vraie explication. Que nous avons eue le samedi soir, dans un restaurant (lieu neutre) tranquille. Au delà de ce qui nous concerne directement, j'ai appris... qu'elle m'est en fait reconnaissante du travail de recadrage que j'ai fait avec son fils, qu'elle considère maintenant correctement remis en route, et quel le dit fils, ainsi que sa soeur, me considèrent comme un référent! Que mon burn out les a vraiment déstabilisés, désorientés de voir ce référent en situation de fragilité.

Bonne nouvelle ! J'y trouve justification de ma lutte au quotidien, à la maison. J'aurais aimé l'apprendre plus tôt, et avoir le sentiment de faire équipe avec elle. Je me sentais seul dans cette lutte. Et je me dis que ce qui m'a cassé, ça n'est pas tant la quantité de travail, mais le sentiment d'insécurité, le fait de me sentir seul, de ne pas avoir de lieu de repos...

 

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8 mars 2012

Jeudi

J'ai vu le psy cet après-midi.

Nous devons clairement envisager la sortie de l'arrêt, et tout aussi clairement ça m'emmerde. Heureusement, il me propose de commencer par un 1/2 temps thérapeutique, et ça me va bien. Il ne me presse pas non plus pour que je reprenne contact avec ma boite (et particulièrement mon chef), arguant, et je lui donne raison sur ce point, que je suis off et que c'est mieux de le rester... Je vais réfléchir - et sans doute faut-il que je me débarrasse de mon sentiment de culpabilité et de mon sens du "devoir" !

En tous cas, 1/2 temps pour avril, c'est déjà ça !

Pour le reste, je continue à me reposer, la forme revient. Je me sens encore un peu fragile côté émotions (toujours un peu à fleur de peau), mais les choses s'améliorent doucement. J'irai sans doute la semaine prochaine à la campagne.

Pour le reste, m'éclaircir sur mes choix d'avenir. Sans me presser, sans traîner non plus. Et pour aujourd'hui garder le bon équilibre entre la définition d'un avenir et ma réparation.

Il me vient cette prière que je faisais il y a longtemps :

Mon dieu,
donne-moi la sérénité
d'accepter les choses que je ne peux pas changer,
le courage de changer celles que je peux
Et la sagesse d'en connaître la différence

 

6 mars 2012

Hé bien ça continue !

Le rétablissement continue ! je recommence à dormir, et à sentir que ce sommeil me repose.

Je dors maintenant au moins 7 heures par nuit, plutôt 8 en général. Je me sens mieux, plus gai, plus détendu, plus léger, etc. 

Un problème est de ne pas trop tirer sur la corde, ce que j'aurais tendance à faire. Hier par exemple, je suis allé me promener dans Paris, j'ai pas mal marché, et je n'ai pas trop senti la fatigue s'installer. Le soir, j'ai eu besoin de me retrouver seul, et je suis allé dîner dehors.

Commencent maintenant à se poser les questions qui concernent la suite : que faire, comment le faire, comment me sentir bien avec ça... Le travail commence...

Merci de votre écoute !

4 mars 2012

Un monde qui change

C'est à peine croyable : j'ai dormi 10 heures la nuit dernière, 8 heures la précédente, et 8 encore celle d'avant.Je ne savais  plus que ça existait. Je me sens de plus en plus reposé, et le monde change... !
Je me sens beaucoup moins les émotions à fleur de peau, je retrouve du dynamisme, de la gaité, de la joie de vivre. Nous avons passé une bonne soirée hier soir, avec K. Sina était parti dîner chez un copain (il est convenu qu'une fois par mois il nous laisse la maison), et nous avons joué. Mis de la musique, dansé... pris du bon temps. J'étais encore un peu crevé, mais K s'est beaucoup lâchée, et ça nous a fait du bien à tous les deux.
De mon côté, j'ai encore besoin de quelques nuits, mais je suis confiant maintenant dans les somnifères prescrits, la vie revient, les perspectives aussi, et la légèreté !

D'abord consolider, puis commencer à mettre en forme l'avenir. L'avenir le plus proche étant probablement une semaine à la Teillerie, pour passer un coup de blanc dans la cuisine, avant que de faire poser les meubles de cuisine.

Ensuite, m'éclaircir sur mon avenir professionnel, ce que je veux, ne veux pas, ce que je me souhaite etc. Mais je ne vais pas me précipiter. Et puis, c'est ma façon de fonctionner : les choses se contruisent en silence, mon inconscient travaille pour moi. Puis un jour c'est clair. Je n'ai qu'à entretenir la présence de la question, de temps en temps. Pas plus. Alors, c'est lancé, ça va se faire un peu tout seul. Ceci étant, vos idées sont bienvenue, si vous en avez.

1 mars 2012

Jeudi 1er mars

J'ai vu le psychiatre, ce matin. Il m'a l'air pas mal, ce gars là. En tous cas, il est sympathique, il donne l'impression de savoir où il va, il ne m'a pas l'air de forcer les doses, il semble sensé, et il est d'un contact agréable.

Première choses, et la plus importante pour ce soir : mon arrêt de travail est prolongé de 1 mois. Vraie bonne nouvelle !
Il a bien relevé que je suis crevé, et ne trouve pas normal que je sois autant au bout d'un mois d'arrêt. Explication : le somnifère n'est pas le bon. Ses explications tiennent la route : le somnifère précédent facilite l'endormissement, mais son effet ne dure pas. C'est pour ça que je me réveille tôt. Il m'a donné un somnifère qui agit dans le temps. J'en espère un vrai repos, car honnêtement, je suis vraiment claqué !

J'ai l'impression que ce psy sait où il va, même s'il ne m'a mis aucune pression. Je me sens pris en charge, et ça me fait du bien ! J'ai envie de me laisser porter, sur ce coup là. Du moins ce soir. L'essentiel de sa prescription, au delà du somnifère, c'est du repos, du plaisir, de la détente. Et le fait d'avoir un mois me donne un peu de perspective. j'envisage de passer un peu de temps à la Teillerie (j'ai de la peinture à faire avant l'installation de la cuisine).

Me voilà donc en arrêt jusqu'au premier avril.

J'ai l'impression de ne pas être clair, mais je suis trop claqué, là.

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29 février 2012

Mercredi

Déjà mercredi.

Les jours passent vite, sans que je m'en rende vraiment compte.

Dormi 8 heures hier, ce que je n'avais pas connu depuis des mois, avec l'impression d'un début de

repos. Mais 5 jheures la nuit dernière seulement, allez savoir pourquoi !? Donc cette impression bien

connue de lendemain de nuit blanche.

J'ai déjeuné avec V (merci à toi). Ca m'a fait du bien de pouvoir échanger avec une oreille amie (les

larmes montent), de constater que je passe par des moments qu'il a connu, de partager une compréhesion

commune de l'environnement de ma boite. Mais ce moment d'amitié a aussi consommé de ma disponibilité aux

autres pour aujourd'hui, il fallait que je me rassemble, que je me retrouve seul après, et ce soir je

vais dîner en ville.

J'ai eu le psychiatre au téléphone, j'ai rendez-vous demain matin. Voix chaleureuse au téléphone, j'ai eu l'impression qu'il voyait une urgence. Mais je projette peut-être, c'est peut-être seulement qu'il n'a pas de client s (!?). Esprit négatif, sors de ce corps !

La vie va mieux à la  maison, même si je me sens coupable de ne pas offrir à K ce dont elle a besoin. Ou ce que je crois être son besoin. En tous cas, elle admet, et semble s'accommoder de la situation. Et je me sens plus libre de filer quand elle me casse les pieds avec ses histoire de boulot.

Suis-je capable de reprendre le boulot lundi ? Je n'en ai aucune fichue idée, et je dois faire appel à mon intellect pour donner une réponse. L'intellect dit : si tes réserves de disponibilité sont si petites, tu ne vas pas y arriver. Le reste ne dit rien, tellement déconnecté de l'open space, de la cafeteria, des réunions et des petites combines qu'il a du mal à imaginer y être. La sagesse écoutant l'intellect conseille de ne pas y retourner, et la peur essaye d'imaginer une stratégie pour convaincre le toubib de prolonger l'arrêt de travail, en plus d'une stratégie de repli au cas où il faudrait y retourner lundi !!!!
J'espère que vous avez trouvé ça confus, ou compliqué, ça reflète mon intérieur.

Y., merci de tes messages. Je les ai bien reçus, j'essayerai de t''appeler rapidement. Pour être plus précis, je les écouterai rapidement aussi... désolé, question de réserve de disponibilité.

Grande ballade tout à  'heure dans la Garenne-Colombes. C'est très mignon, comme petite ville !

Je vous embrasse.

27 février 2012

Dimanche, suite...


J'ai eu longuement Melodie au téléphone. Elle est ma collègue de travail, mon binôme, et je l'aime beaucoup. Elle est brillante et je l'ai fait venir de ma boite précédente.Elle m'a donné des nouvelles de ma boite, j'ai l'impression que l'ambiance est devenue catastrophique ! Sentment de gâchis.
En tous cas son appel m'a fait plaisir. Elle m'a dit une chose curieuse : que les choses se sont dégradées aussi parce que je ne suis pas là. En ce sens que j'avais un rôle d'élément régulateur entre les personnes. Si c'est le cas, m'étonne pas que je sois épuisé !!!
Quand je regarde derrière moi toute cette année passée, 2011, au moins d'un point de vue professionnel, je retiens : pression, insécurité, absence d'appui, absence de direction, absence d'évaluation, investissement personnel.... Il y a sans doute d'autres choses. De belles réussites, aussi, des retours très positifs, mais jamais de la part de ceux qui sont sensés m'encadrer ni m'appuyer. Des autres, de mes clients. Mais pas de mes chefs.
Beaucoup de travail aussi, en quantité, sous la pression de la quantité d'affaires à traiter, du peu de moyens disponibles, des "impératifs" de la direction.
S'y ajoute - et c'est Mélodie qui l'ajoute - ce rôle de régulateur. Pas étonnant que je suis épuisé. Pas étonnant non plus que je ne supporte plus les contraintes et les contrariétés dues aux autres.

Réflexion intéressante de S. ce midi : "J'ai vu - enfin j'ai pas vraiment regardé - un reportage sur Arte sur le burn out. Il paraît que c'est vraiment grave, ce truc là". J'ai sauté sur l'occasion : "Ben justement..." Ca l'a transformé, ça m'a fait du bien. Mais ça n'aurait servi à rien de lui expliquer avant non plus. Il fallait que ça vienne d'ailleurs. En tous cas, c'est de nature à simplifier les choses.

2 appels ce matin donc, Mélodie, et Ombeline. Remontées d'émotions, j'ai ma dose. K veut aller se promener avec moi, je vais sans doute y aller seul.

J'au fait une grand promenade dans Paris, seul.

26 février 2012

Dimanche


Nous sommes allés voir The Artits, hier soir, au cinéma, avec K. C'est un très grand filme, et Bérénice Béjo est un fille absolument superbe.
Comme quoi je ne perds pas mes impulsions de base. En revanc,e, j'ai beaucoup pleuré., ce qui ne m'arrive jamais au cinéma. Des flots qui montaient, et  que je contenais en partie, ça n'était la place pour m'effondrer. Mais ça j'aurais pu m'effondrer.
A la maison, je recommence à réintégrer la vie de tous les jours, à petits pas. J'ai fait mes comptes. En 3 jours, mais ils sont faits. Et quelques petites tâches : une lessive, du repassage.
Toujours seul.
Quand je suis seul, tout va bien encore. J'ai même eu hier matin l'impression que je pourrais recommencer le travail bientôt. Et hier midi, j'ai vu dans le placard un empilement improbable de casseroles et de poëles, j'ai tout de suite compris que je ne supporte toujours pas les contrariétés. Je suis tout de suite monté en tension, et ma colère était réelle. Tu le dis bien, Valéry : les nerfs à vif !
Je dirais les émotions à vif, mais c'est très à vif.
Ca se passe un peu mieux à la maison. K est plus détendue, elle accepte maintenant. Avec S, nous nous croisons, je ne m'occupe de rien, et nous croisements sont pacifiques.

J'ai battu un record, cette nuit : 1/2 comprimé de somnifère seulement, j'ai dormi d'une traite jusqu'à 8 heures, et j'ai pu somnoler jusqu'à 10.

Tenté de prendre contact avec le psy, malheureusement il est visiblement en vacances. Tant pis, j'irai au centre médico social. Il faut que je gère mes arrières pour l'arrêt de travail. C'est dans une semaine, et ça me fait peur de retourner voir le médecin. Bon, il y a surement une solution de secours, mais je ne sais pas laquelle. En tous cas, remettre les pieds à ma boite, ça me fait peur aussi. Pas envie de voir des mines compatissantes de chefs dont je sais que dans l'heure qui suit ils vont faire le point et remettre en place le programme des contrariétés...

Je suis toujours fatigué, même si la fatigue diminue un peu chaque jour. Un peu seulement !

23 février 2012

Quel jour sommes nous ?

Auncune fichue idée.

Je regarde Google... Jeudi déjà. Ca me fait presque peur : je vois l'échéance qui approche (la fin de la parenthèse).

En général, tout va bien dans la journée : je passe ma journée seul, à me ballader, et à faire des bricoles à la maison. Pas grand chose, mais ça me convient. Pas trop d'émotions en général, quelques débordement de temps en temps, mais pour finir est-ce un mal ?

C'est quand il y a du monde, que ça se complique.

Lundi, K est rentrée furieuse, et m'a proprement incendiée. J'ai reçu sa grande colère dans la figure. Elle a été plutot ignoble, à mon égard, et à l'égard de proches. Le plus curieux, c'est que j'ai trouvé ça... long. Je me suis prété à sa colère, puisque visiblement elle en avait besoin. J'étais assis sur le lit à côté d'elle, à recevoir toutes ces inepties et sa méchanceté... et j'ai trouvé ça... long. D'habitude, j'aurais protesté, tenté de calmer, que sais-je. J'aurais été affecté en tous cas. Là, j'ai juste trouvé ça long.

Je suis allé dîner dehors, et ça n'est qu'en marchant dans la rue que des larmes sont venues.Mais je ne savais pas trop à quoi les raccrocher émotionnellement.

Je vois aussi des gens agréable, au fil de mes ballades : une personne qui tient une porte, un sourire, des choses comme ça, et c'est agréable. Pour éventuellement tourner mal si un distributeur de tracts se fait insistant. Enfin, tourner mal, moi je me sens mal !

Je retourne régulièrement vers Puteaux. Attachement à des jours heureux. J'ai été très heureux, à Puteaux (larmes qui montent).

Je recommence à faire tout doucement de petites choses quotidiennes. Je suis allé me faire faire la prise de sang  recommandée. Résultats ce soir. J'ai commencé mes comptes il y a trois jours, et hier soir j'ai fait une soupe. bon, pas grand chose. Il faut aussi que je prenne le rdv avec le psy. Cet am sans doute... heu, surement !

Je me sens un peu bloqué à la maison, je respecte les horaires de la sécu, 9h - 11 et 14 h - 16 h. Pas très contraignant, mais l'après midi ce sont mes heures préférées.

Et avec S, j'ai vraiment du mal. Gamin de 21 ans, suis-je normal ? hier soir, il prend la parole au sujet des anciennes colonies qui veulent récupérer des musées nationaux ce qu'elles considèrent comme leur patrimoine, pillé. Pour quoi pas, c'est un sujet. Il explique alors à titre d'exemple que les Chinois veulent récupérer la pierre de Rosette, et l'Egypte il ne sait plus quelle statue qui doit avoir dans les 60 000 ans (tu te rends compte, 60 000 ans !), parce qu'il a lu  l'article en diagonale. Ca me fout hors de moi, je reste en silence pour éviter une réflexion qui pourrait être mal prise (par sa mère et lui), et rapidement je remonte dans mon nid bureau.

Heureusement, j'ai conseillé à K de se renseigner sur ce que j'ai, je crois qu'elle l'a fait, et depuis elle le prend mieux. Et la colère me vient en écrivan : "Mais putain il faut tout leur expliquer à ces cons ?"

Next step : le psy. Pfffffffffff...;

Bon, je vous embrasse

20 février 2012

Dimanche

J'ai passé une super journée. Il faisait beau, je suis parti tôt me ballader dans Paris, seul. J'ai déjeuné en route, grande ballade dans le marais.

C'est beau Paris. J'avais l'impression de me nourrir de beauté. Je trouvais les filles jolies.J'ai beaucouo marché.

Retour à la maison difficile. Déjà il y a du monde. Je me fais discret, pour ne pas m'énerver, S. m'insupporte, et K ne supporte pas que je puisse émettre une opinion à son sujet. Alors je m'enferme (des larmes montent).

Samedi, je me suis acheté une chaine hifi. Comme ça, j'ai ma musique dans mon petit bureau. Ca faisait longtemps que je tournais cette idée, je me  suis lancé, sur du haut de gamme. Un bonheur !

J'avais besoin de cette musique, avec ce déménagemen j'en étais privé. J'ai mon petit bonheur dans mon petit monde. Dommage qu'il y ait des gens dehors.

Il faudra que je fasse mes comptes, que je sache où j'en suis, ça me fait chier.

 

 

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